1950-

Les mémoires d’Hadrien Marguerite Yourcenar, (1951) , source

Peu de livres m’ont fait aimé la langue française comme celui-là. L’auteur fait parler le gouverneur Romain à propos de son pouvoir. A lire.

Le Diable et le Bon Dieu Jean-Paul Sartre, (1951) , source

Je ne l’ai jamais vue jouer mais si je devais aller en voire une, je choisirais celle-ci. Cynique. La guerre théorisée puis mise en pratique pour la valider.

Le vieil homme et la mer Ernest Hemingway, (1951) , source

Le combat d’un homme et d’un espadon pour leur survie. Un récit épuré et implacable.

Le Livre de ma mère Abert Cohen, (1954) , source

Pour être honnête, je ne me souviens plus trop. Mais la langue d’Albert Cohen est l’une des plus belle.

Le baron perché Italo Calvino, (1957) , source

Un enfant se réfugie dans les arbres et en fait son royaume.

Le lion Joseph Kessel, (1958) , source

Une petite fille découvre le monde adulte et les règles absurdes qu’il lui impose. Elle passe allègrement d’un monde à l’autre, de la savane à la ville, des animaux aux hommes, des blancs aux noirs. Tant de frontières invisibles pour elles qui font de son monde un monde merveilleux. Devenues infranchissables, ce monde se mue en enfer.